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jeudi 15 janvier 2015

Les extraordinaires découvertes de Masaru Emoto

A travers les écrits de cette époque où tout nous est restitué, nous parlons souvent de notre pouvoir créateur. Peut-être certains ont-ils besoin de comprendre mieux ce que cela signifie très concrètement. Un homme nous en a délivré la preuve incontestable et pourtant je me rends compte que bien peu de gens ont entendu parler des extraordinaires travaux du Dr. Masaru Emoto.



Titulaire d’un Doctorat de l’Université de Yokohama en Médecine Alternative (eh oui, au Japon ça existe), Masaru Emoto a pu mettre au point avec son équipe une méthode d’observation des cristaux d’eau gelés par la photographie. Il y travaille depuis presque 20 ans et parcourt à présent le monde pour partager les enseignements de ses découvertes, avec une attention pédagogique particulière pour les enfants. Ce qu’il a pu mettre sous l’œil d’un objectif offre à tous un aperçu concret de ce qui nous était déjà transmis par les anciens peuples de la Terre et ceux dits ‘primitifs’, et qui est également redécouvert à travers les avancées de la physique quantique : la pensée est puissamment créatrice, instantanément.
C’est au fil de ses travaux sur les fluctuations ondulatoires de l’eau que M. Emoto a découvert « la richesse avec laquelle l’eau peut s’exprimer ». Pour obtenir sa cristallisation, des échantillons d’eau sont congelés dans des boîtes de Pétri à -20° durant trois heures. A la suite de quoi des gouttelettes de glace se sont formées à la surface, sur la couronne desquelles apparaît le cristal sous une projection de lumière. La photographie est alors prise à vitesse rapide.
Tout de suite, l’équipe d’Emoto a découvert que les cristaux étaient très différents selon la provenance de l’eau. Les eaux pures et vives formant de beaux cristaux harmonieux  là où les eaux stagnantes, ou pire les eaux usées, ne formaient pas de cristaux ou encore des cristaux très incomplets ou disharmonieux.
L’étude de la riche panoplie des cristaux d’eau présents dans l’eau naturelle – richesse inexistante dans l’eau du robinet en raison de la présence de chlore – a donné l’idée à un chercheur de l’équipe de mettre de la musique pour voir ce qui se passerait. Ce fut le début d’une autre dimension de l’aventure qui a permis de découvrir la grande sensibilité de l’eau à l’énergie émise par la pensée, la parole, l’image, la musique… Par la vibration qu’ils émettent, même de simples mots écrits sur un papier comme ‘haine’ ou ‘amour’ présentés à de l’eau modifie avec une signature spécifique la forme de ses cristaux. Comme le dit M.Emoto, « ces cristaux sont remplis de leçons à tirer concernant la façon dont nous devrions – et devons – vivre ».
La découverte est d’une telle simplicité que mieux vaut tout simplement en regarder les images plus que de longs discours :







Créé avec les mots "tu me rends malade'

Créé avec l'intention d'amour et de gratitude


Créé avec de la musique heavy metal

Créé avec de la musique de Mozart

Arrivé là, un constat s’impose. Un être humain débute sa vie à l’état de fœtus composé de… 99% d’eau. A la naissance il est constitué d’encore 90% d’eau et arrivé à l’âge adulte, c’est toujours un être liquide à hauteur de 70%. S’il vit très vieux il se sera densifié jusqu’à 50% d’eau dans son corps. Douteriez-vous encore que notre matrice de vie sur cette Terre, elle-même composée en surface de 71% d’océans , soit autre chose que l’eau ?
A la lumière des travaux de M. Emoto, imaginez un peu le récepteur que votre corps représente pour les pensées et paroles d’autrui ou les vôtres. Imaginez ce que provoque sur votre santé physique et psychique l’audition de musiques de basse vibration ou l’absorption passive d’images violentes et dégradantes. Le conditionnement débute là. Et quiconque a cette connaissance et le pouvoir d’agir sur le collectif peut à loisir en user pour le conduire là où il veut qu’il en soit. Ne doutez pas que les marionnettistes du monde ont cette connaissance et qu’ils en usent abondamment.
Ne doutez pas non plus que vous avez tout pouvoir de contrer ce type d’agression et reconditionner votre être. Le succès de la pensée positive peut s’expliquer ainsi. Si au lieu de vous plaindre en vous-même de toutes sortes de maux, de vous trouver moche ou malheureux devant la glace le matin, de vous exposer des heures durant à des programmes de télévision avilissants, de noyer votre mal être dans des musiques hypnotiques et destructurantes, des jeux vidéos hypnotiques et violents, de l’alcool ou des drogues, si au lieu de tout cela vous renversez la vapeur en pratiquant la pensée positive, même si cela vous paraît artificiel au début, les résultats s’en feront très rapidement sentir.
On en revient toujours à la trinité abordée dans « l’Eveil en soi » : changer la nature du regard que l’on porte sur le monde, change aussitôt la nature du sentiment né de ce nouveau regard et de la pensée qui le suit. Peut-être peut-on ajouter à la lumière des travaux de Masaru Emoto que l’eau est le vecteur de cette métamorphose par sa capacité à mémoriser, reproduire et à transporter de manière permanente l’information à travers le corps.
Nous sommes des êtres essentiellement liquides et hautement récepteurs de toutes les énergies qui nous atteignent. Si celles-ci sont de nature à nous apporter le bien-être et l’évolution, alors tout va bien. Mais dans le cas contraire, et pour ce que j’entends et je vois c’est le cas le plus exprimé, nous pouvons à tout moment décider de changer radicalement notre manière de vivre. Certains pensent que vivre sans télévision, dans un lieu où la nature est présente et entourés d’êtres paisibles et créatifs qui correspondent ce que l’on souhaite pour soi, revient à se couper du monde. C’est exactement le contraire. Se couper du monde, c’est justement vivre conditionné par une société que l’on n’a pas choisie mais que l’on a laissée se renforcer et nous envahir chaque jour un peu plus. Là, nous sommes si loin de tout que nous sommes même loin de nous.


A l’inverse, se relier au monde, c’est d’abord reprendre le pouvoir sur soi et ne plus se laisser mener par le bout du nez, puis exprimer en soi la volonté d’une ère où disparaîtront les chaînes que l’on nous a posées et celles que nous imaginons porter. Se relier au monde, c’est s’engager sur la voie lucide qui crée une autre réalité.
Ne serait-ce que le temps de lire ces lignes, prêtez-vous au jeu de voir la société comme une structure mouvante dans sa globalité, avec des points stagnants, en permanence mise au point dans le moindre de ses rouages afin de guider l’ensemble des pièces à travers des tendances vers des objectifs ciblés. Ces objectifs ne sont pas pour autant les vôtres, mais vous allez pourtant y répondre par habitude, avec un sentiment de fatalité, d’inéluctable. Si l’on donnait la parole à chaque pièce de la structure, à chaque individu, l’écrasante majorité exprimerait de la souffrance à endosser le lourd manteau que la structure leur a déposé sur le dos. Masaru Emoto dirait que « l’eau du corps est sale ».

La structure, la société, use et abuse de tous les moyens pour diriger votre pensée et vous amener où elle le souhaite dans l’intérêt d’une poignée d’êtres dénués de toute empathie. Vous êtes libre, absolument et totalement libre, de choisir de vivre dans les « eaux sales » qu’elle a créées en vous ou de décider la grande épuration intérieure et le nouveau souffle de vie qu’elle vous offrira. De plus en plus ont fait ce choix, et la masse critique au-delà de laquelle l’humanité va basculer, est atteinte.
Laissons pour finir la parole à Masaru Emoto : « Ce que vous savez possible du fond du cœur est réellement possible. Nous le rendons possible par notre volonté. Ce que nous concevons dans notre esprit devient notre monde. ce n’est qu’une des innombrables choses que l’eau m’a enseignée. »





Water, Le Pouvoir Secret de l'Eau

L'eau est l'élément le plus important de notre planète.
Plus des trois cinquièmes de la surface du globe terrestre sont recouverts d'eau, mais que savons-nous vraiment de cet élément  ?
D'éminents scientifiques, écrivains et philosophes essaient de décoder le secret de l'eau. De nombreuses expériences révèlent de manière impressionnante que les influences de l'environnement laissent des traces marquantes dans l'eau : tout ce qui se passe autour de l'eau y est aussitôt enregistré. Tout ce qui entre en contact avec l'eau laisse une trace !
Nos ancêtres connaissaient-ils déjà ce secret, lorsqu'ils ont essayé de transformer, avec des récipients en argent, de l'eau ordinaire en eau qui guérit ?
Comment des émotions humaines influencent-elles durablement la structure de l'eau ?
L'eau aurait-t-elle une mémoire, comparable au disque dur d'un immense ordinateur, qui mémoriserait l'intégralité des données de la vie pour toujours ?
Ce documentaire extraordinaire donne la parole aux experts reconnus mondialement, qui présentent des aspects scientifiques aussi bien que spirituels. Parmi d'autres, le Dr. Masaru Emoto et le Prof. Dr. Kurt Wuthrich (Prix Nobel de chimie 2002) révèlent les découvertes étonnantes de leurs recherches sur un élément que nous connaissons tous, mais dont nous ne savons finalement pas grand-chose


mercredi 14 janvier 2015

Equilibre acido-basique et vie biologique

pH : un peu de Biochimie

Par Jean-Pierre Perraud

C’est en 1909 que le chimiste danois Sörensensoren-sorensen2.jpg  introduit la notion de pH, dans un mémoire resté fameux et intitulé : « Etudes enzymatiques sur la mesure et la signification en ions hydrogène dans les processus enzymatiques ».
Peu compréhensible pour les profanes, ce mémoire, écrit en langage scientifique, explique à l’aide de formules chimiques et de graphiques les caractéristiques des composants d’une solution acide ou basique (alcaline). Très en vogue pendant plus d’un siècle, ils furent plus ou moins abandonnés dans les années cinquante, c’est-à-dire après l’avènement de la chimie.


LE pH : UN PEU DE BIOCHIMIE
Pour les scientifiques, pH veut dire puissance d’hydrogène ou exposant d’hydrogène. Ce qui, en clair, signifie mesure de la concentration en ions d’hydrogène d’une solution et réactions biochimiques qu’ils entraînent au sein de cette solution en sachant que celle-ci peut, selon qu’elle gagne ou perd des ions d’hydrogène, évoluer vers l’acidité ou, au contraire, l’alcalinité.
pH ET BIOLOGIE
Les fonctions organiques de l’être humain obéissent également à des constantes biologiques soit acides, soit basiques.
-  Ainsi le cerveau et le liquide céphalo-rachidien sont alcalins — leur pH varie entre 7,9 et 8,1.
-  La bouche et la salive sont naturellement alcalines — pH : de 7,1 à 7,4 (la salive contient des bicarbonates qui sont chargés de neutraliser les toxines alimentaires acides et l’acide lactique issus du sucre et des hydrates de carbone).
-  Le sang est alcalin, son pH normal, à la température du corps, varie entre 7,38 et 7,43.
-  Le pH de l’humeur aqueuse et celui de la Iymphe sont voisins de 7,9,donc alcalins.
-  Le pH de l’oreille interne se tient aux alentours de 7,4.
Les diverses sécrétions (mucus, glaire, bile, larmes, sécrétions utérines, sperme) sont généralement tamponnées (alcalines) pour maintenir la réaction du milieu dans une zone favorable à l’activité des enzymes (diastases).
-  Les selles normales sont très légèrement alcalines (pH entre 7 et 7,5) : un pH de 6 est donc signe de fermentations anormales.
-  En revanche, les sécrétions de l’estomac sont très acides : le suc gastrique contient de l’acide chlorhydrique libre et son pH est voisin de1 (du moins chez l’adulte, car le contenu de l’estomac du nourrisson présente un pH supérieur à 5).
-  Les sécrétions vaginales sont acides par la présence d’acide lactique — leur pH est de 4,5.
-  Le pH normal de l’urine est acide et varie entre 5,8 et 6,2.
-  Les acides biliaires ont un pH qui varie entre 3,8 et 4,3.
Tous ces pH biologiques correspondent à l’état normal. Des variations entraînent des troubles pathologiques.
Sont acides : les vinaigres - le jus de citron - le jus d’orange - le jus de groseilles - les acides organiques : acide urique, acide lactique - I’acide chlorhydrique - I’acide nitrique - I’acide sulfurique - le yoghourt - les tomates - le miel.
Sont basiques ou alcalins : les bicarbonates : de calcium, de potassium de sodium - les hydroxydes : de magnésium, d’aluminium - les pommes de terre - les légumes verts crus ou cuits : salades, haricots verts, chou - le lait - les eaux minérales alcalines.
Les phénomènes vitaux ne peuvent se produire que dans une zone très limitée de pH, en dehors de laquelle toute vie, depuis celle du plus simple des micro organismes jusqu’à celle de l’homme, peut être paralysée. Une telle sensibilité aux variations du pH nécessite une possibilité de régulation très efficace : les milieux biologiques sont tamponnés, c’est-à-dire alcalins.
Ainsi, l’eau des mers — dont on pense aujourd’hui qu’elle fut la soupe prébiotique, d’où les premières formes vivantes émergèrent — et des océans constitue un énorme milieu tamponné : la vie n’y est possible que si le pH varie en moyenne entre 7,5 et 8.
Une acidification du pH marin (fonte des glaces, pluies acides, chaleur excessive) entraîne les migrations saisonnières de certains poissons qui ne peuvent se développer en milieu trop acide. Chez les animaux supérieurs et chez l’homme, c’est le pH du milieu intérieur qui reste constant : le pH du contenu cellulaire varie peu, tout comme celui du milieu extra-cellulaire.
LES MODIFICATIONS DU pH
Le Dr Kousmine explique que l’alimentation et le métabolisme tendent à provoquer dans l’organisme de grandes variations de l’acidité ou de l’alcalinité.
Un régime riche en viandes sera acidifiant car les acides aminés soufrés des protides fournissent de l’acide sulfurique.
De même un régime trop riche en yoghourts, surtout ceux qui contiennent de l’acidophilus bifidus, crée un terrain acide en vidant l’intestin de ses réserves alcalines.
L’intestin utilise ses bicarbonates et ses hydrogénates pour neutraliser l’acidité naturelle du yaourt. La publicité outrancière de certaines multinationales alimentaires faite à la télévision pour inciter à la consommation excessive de yaourts est un véritable scandale, surtout lorsqu’elle s’adresse aux enfants qui, on le sait, ont besoin de leurs réserves alcalines pour protéger leurs dents et leur squelette.
Même chose pour les régimes trop riches en miel ou tout simplement en sucres, qui sont des aliments potentiellement acides puisqu’une partie des glucides sera transformée en acide lactique, acidificateur de terrain.
En revanche, un régime trop riche en végétaux apportera au contraire un excès de bases.
LE DESEQUILIBRE ACIDO-BASIQUE DANS L’APPARITION DES MALADIES FONCTIONNELLES ET INFECTIEUSES
Force est de reconnaître aujourd’hui, en raison de nos habitudes alimentaires et du mode de vie que nous menons, que si l’équilibre acido-basique est rompu, c’est presque toujours vers l’acidification.
Le déséquilibre acido-basique, dans le fonctionnement des différents systèmes organiques de l’être humain (sang, lymphe, humeur, bouche, estomac, vésicule, intestin, peau, poumons, reins) entraîne la surcharge du terrain organique en toxines diverses.
Les déchets qui s’accumulent sont soit des substances exogènes qui ont trouvé le terrain favorable à leur prolifération (microbes, parasites), soit des toxines alimentaires résiduelles qui n’ont pu être éliminées (acide urique, urée, cholestérol, plaque d’athérome).
La surcharge du terrain en déchets provoque de graves dommages à l’organisme. Les sérums et liquides organiques qui charrient les déchets s’épaississent et circulent de plus en plus difficilement. La circulation sanguine et l’irrigation des tissus se ralentissent et les échanges cellulaires s’appauvrissent. Les substances nourricières et l’oxygène actif ont de la peine à être véhiculés jusqu’à leur site d’utilisation.
Outre les troubles fonctionnels qui en résultent s’ajoutent les lésions provoquées par l’agressivité des déchets. Les toxines acides ou basiques (plus rarement) irritent, enflamment et finissent par détruire les tissus.
Le déséquilibre acido-basique organique entraîne chez l’être humain l’apparition de maladies ponctuelles, chroniques ou dégénératives. Si les deux premières constituent un état morbide facilement réversible (mycoses, aphtes, gastrites, colites, migraines, eczémas, cystites, sinusites), il en va tout autrement des maladies dégénératives.
Rien ne résiste aux toxines acides et à leur agressivité. Les tissus osseux, les articulations, les vertèbres sont rongés, cariés, corrodés, induisant des arthroses dégénératives.
De même l’organisme, en puisant sans cesse dans les réserves alcalines intestinales pour neutraliser les toxines acides, finit par déstabiliser la flore microbienne saprophyte intestinale. 400 germes saprophytes vivent dans l’intestin, et ce, en bonne intelligence avec l’organisme. Leur rôle est d’assurer la pérennité du système immunitaire en neutralisant les germes pathogènes. Une simple modification du pH intestinal (naturellement alcalin) vers l’acidité entraîne la prolifération de germes pathogènes avec l’apparition de maladies, hélas trop bien connues : colibacilloses, cystites, pyélonéphrites, mycoses digestives, sinusites, angines, etc.
« DIS-MOI CE QUE TU MANGES, JE TE DIRAI DE QUOI TU SOUFFRES ! »
Les terrains trop acides seront corrigés en supprimant les causes d’acidification. La désacidification entraînera ipso facto la disparition des troubles locaux. Ces derniers néanmoins devront faire l’objet de soins attentifs, tant internes qu’externes et ce avec les médicaments ou topiques nécessaires.
catherine-kousmine.jpgCatherine Kousmine disait toujours : « Dis-moi ce que tu manges, je te dirai de quoi tu souffres ! » Elle prétendait avec raison que l’équilibre acido-basique passe obligatoirement par une réforme diététique complète.
Elle préconisait dans un premier temps un régime faiblement protéiné et riche en végétaux : légumes verts crus et cuits, en céréales et fruits alcalins (bananes, châtaignes, fruits secs sauf l’abricot) et, bien sûr, les eaux alcalines.
Progressivement, il conviendra d’introduire dans ce régime des protéines d’origine animale : fromages, œufs et, une fois ou deux par semaine, des dérivés lactés (yaourt maison ou fromage blanc). Enfin et en cas de forte acidité organique il pourra être utilisé des citrates organiques qui rechargeront les réserves alcalines.
L’alimentation préconisée par le Dr Kousmine, qui comportait des oléagineux et des huiles végétales de première pression à froid, était riche en acides gras poly-insaturés. Elle fut un véritable précurseur, dont la science confirme aujourd’hui les découvertes empiriques. Mais elle n’avait pas perçu la fragilité de ces acides gras aux radicaux libres, et le rôle important des vitamines anti-oxydantes.
 GRANDS EMONCTOIRES ET EQUILIBRE ACIDO-BASIQUE
Les grands émonctoires (les reins, les intestins, les poumons et la peau) jouent un rôle capital dans l’équilibre acido-basique de l’être humain. Les personnes en bonne santé sont celles dont les émonctoires, à leur insu, assurent le rôle d’éliminateurs des toxines organiques. Dans l’équilibre acido-basique, le rein est l’organe qui a la fonction éliminatrice et régulatrice la plus importante. Il est le seul organe capable d’éliminer par les urines les ions H+ (anions acides) liés à des anions non volatiles et il adapte sa sécrétion pour maintenir constant le pH du plasma.
Les poumons ensuite interviennent dans la régulation de l’équilibre acido basique en apportant au sang, aux protéinates du plasma et à l’hémoglobine du gaz carbonique qui est transformé en système tampon alcalin par sa conversion biochimique en hydrogénocarbonate, acide carbonique qui maintient le pH du sang entre 7,38 et 7,43.
Les intestins participent également à l’équilibre acido-basique organique par l’élimination dans les fèces des toxines acides, des acides et sels biliaires, du cholestérol, des toxines lactiques acides. La peau enfin joue également un rôle déterminant dans le nettoyage cellulaire par l’élimination dans la sueur de l’excès d’acide urique hautement corrosif.




Source:  http://www.francaise-bio-energetique.com/equilibre-acido-basique.htm

« Comment douter que l’homme soit un être magnétique ? »

Interview du Professeur Yves Rocard
« Comment douter que l’homme soit un être magnétique ? »
Jean-Pierre Perraud a rencontré le professeur Yves Rocard à trois reprises, entre1984 et 1989. Il a bien voulu rassembler les notes qu’il a prises au cours de ces trois entrevues et les synthétiser sous la forme de l’interview suivante. Il s’agit donc d’une publication posthume de propos tenus par le professeur de son vivant. Comme on le verra, les déclarationsdu professeur, qui sont recoupées par divers ouvrages et articles qu’il a publiés de son vivant, constituent une validation scientifique sans réserve du magnétisme.

Jean-PierrePerraud — Vous avez attendu d’être à la retraite pour prendre publiquement position sur des phénomènes autant controversés que la sourcellerie, la radiesthésie et le magnétisme, sur lequels « l'établissement » scientifique a toujours jeté l’anathème et qu’il a qualifiés de charlatanisme et d’obscurantisme. Pourquoi ?

Yves Rocard — Vous connaissez l’expression latine : Est modus in rebus, qui signifie « il y a une mesure dans les choses ». L’excès en tout est un défaut. L’électromagnétisme est un phénomène parfaitement connu des physiciens. Les forces électromagnétiques sont partout, ce sont elles qui induisent les champs gravitationnels qui règlent la marche des planètes mais aussi celle des électrons. Aucun objet spatial, du plus grand au plus petit, n’échappe à la loi de l’attractionrépulsion, principe de base de l’électromagnétisme. En outre, l’homme, en découvrant, il y a près de 3000 ans, les aimants naturels, posa, certes de manière empirique et approximative, les lois fondamentales de l’électromagnétisme. Les Grecs connaissaient les aimants naturels. Il s’agissait de minéraux qu’ils trouvaient dans la région de Magnésie et dont le constituant principal était la magnétite, Fe3 O4 (oxyde de fer). On sait aujourd’hui que la magnétite est présente sous forme d’oligo-éléments chez tous les êtres vivants, y compris les plantes. Lucrèce a décrit dans son De Natura rerum les propriétés attractives et répulsives des aimants et Pline l’Ancien attachait à leurs effets une croyance superstitieuse, d’origine divine et il pensait qu’ils pouvaient guérir.
Savez-vous que la première application de l’aimant à la boussole est généralement attribuée aux Chinois ? Vers l’année 1200 de notre ère a été décrite une boussole réalisée au moyen d’aiguilles de fer aimantées. Dans son célèbre De Magnete, William Gilbert, en 1600, décrit la façon d’accroître la force d’attraction des aimants en disposant à leur surface des nez polaires en fer doux. Il fallut attendre 1820 et la fameuse expérience d’Œrsted pour créer un champ magnétique au moyen d’un courant électrique.
Jean-Pierre Perraud — Ce que vous dites du magnétisme est connu du plus grand nombre. Les propriétés des aimants et les forces électromagnétiques sont enseignées dans les écoles. Personne ne remet en cause le phénomène électromagnétique et la loi physique qui le décrit. En revanche, comme vous le savez, professeur, la plupart des scientifiques récusent que l’homme ait lui aussi des propriétés et des pouvoirs électromagnétiques. Bref, ils récusent que l’homme puisse être magnétiseur.

Yves Rocard — Contrairement à ce que vous dites, peu de scientifiques savent que les cellules de l’être humain renferment des cristaux de magnétite, ce qui a été mis en évidence par deux biologistes américains, les docteurs Gould et Kirschvink. J’ai moi-même rencontré Gould et Kirschvink et pris connaissance de leurs travaux. Leur découverte est stupéfiante : ils ont trouvé, dans le cerveau et le cou des pigeons, dans la tête des baleines, des orques, des dauphins mais aussi sur le ventre des abeilles et de la plupart des insectes, des petits cristaux de magnétite et de silicium qui valent chacun un dixième de micro-cube. Quant à l’homme, le biologiste anglais Baker a identifié chez lui, en disséquant des cadavres et en les réduisant en cendres, des petits amas de magnétite. Il a même réussi à les localiser, chez l’homme, dans les arcades sourcilières et les articulations. Ces découvertes sont indiscutables. Elles ont été faites par de vrais biologistes avec de vrais microscopes. De plus elles ouvrent le champ de l’expérimentation et de la connaissance de phénomènes que certains qualifient à tort de « paranormaux » et d’autres de « pataphysique », voire de sorcellerie médiévale. Le magnétisme organique est aujourd’hui un fait scientifique avéré. Les travaux de Gould et Kirschvink et ceux de Baker ont levé tout doute et toute suspicion sur ce sujet.
Jean-Pierre Perraud — Comment des cristaux de magnétite et de silicium peuvent-ils induire des champs magnétiques au sein d’un organisme ?
Yves Rocard — Il faut tout d’abord comprendre et admettre que, si nous avons tous de ces cristaux, nous n’en avons pas tous, hélas, en égales quantités. Certains individus possèdent une quantité de ferromagnétite supérieure à la moyenne. Vous pouvez dire que ceux-là sont magnétiseurs, sourciers, radiesthésistes. Peu importe le nom. Mais il est indiscutable qu’ils ont une capacité à capter ou à émettre un champ électromagnétique. J’ai suivi de nombreux sourciers, je les ai vus opérer. Leur pouvoir est réel. J’ai écrit que les sourciers, avant de trouver l’eau, détectaient d’abord la différence de potentiel magnétique qui existe entre un sol qui contient de l’eau et celui qui n’en contient pas. Le sourcier est très sensible à ce déséquilibre magnétique qui fera tourner son pendule ou sa baguette de coudrier plus à gauche ou plus à droite. Les sourciers ne se trompent que très rarement et les indications qu’ils donnent sur la nature des sols et sur l’eau qu’ils peuvent contenir sont exactes neuf fois sur dix. Je l’ai vérifié moi-même comme j’ai pu vérifier le pouvoir de momification des magnétiseurs sur des fruits ou de la viande crue qui se dessèchent en quelques jours.
Quant au silicium, je ne vous apprendrai rien en vous disant qu’il est, après l’oxygène, l’élément le plus répandu à la surface de la Terre. Tout le monde minéral contient du silicium. Le silicium a permis l’élaboration des lois fondamentales de la cristallographie, dont les multiples applications ont permis des avancées scientifiques spectaculaires dans des domaines aussi différents que la biochimie moléculaire, la médecine, les télécommunications, les lasers, les ordinateurs, etc. Gould et Kirschvink ont constaté que l’A.D.N. cristallisait toujours en ferromagnétite et en silicium. Cette découverte est capitale car elle s’applique au vivant, au biologique en général. Le lien organique qui relie le minéral au vivant, végétal et humain, est ainsi parfaitement établi.
Jean-Pierre Perraud — Quels rapports, voyez-vous entre les trois règnes, minéral, végétal et animal et le magnétisme ?
Yves Rocard — Sans la ferromagnétite et sans le silicium, la Terre serait une planète morte et muette. Pourquoi ? Tout simplement parce que la ferromagnétite et le silicium sont les catalyseurs qui ont, comme l’oxygène et l’hydrogène, présidé à l’apparition de la vie sur la Terre. Les champs électromagnétiques sont générateurs d’énergie et l’énergie est la force vitale qui anime, je l’ai dit, les planètes et les électrons mais aussi les cellules. Il faut rendre hommage à deux grands savants, Louis-Claude Vincent et le prix Nobel Fröhlich. Ils ont tous les deux montré les propriétés diélectriques et électromagnétiques des cellules. Louis-Claude Vincent, par ses travaux sur le pH et le rH, a expliqué comment se crée un champ électromagnétique au sein de la cellule par auto-électrolyse des sérums intra et extra-cellulaires. D’un côté, des cations alcalins, de l’autre des anions acides qui créent une différence de potentiel à la surface des membranes cellulaires générant un excédent d’ions de potassium producteurs d’électrons chargés électromagnétiquement. Fröhlich, de son côté, a montré les propriétés dipolaires des membranes cellulaires qui sont capables d’élaborer une double couche électrique à leur surface, correspondant à une intensité de champ de 100000 volts par cm. Comment douter alors que l’homme soit électrique et magnétique puisque les biophysiciens le démontrent ? Les liens structurels et organiques qui unissent la ferromagnétite au silicium trouvent leur explication dans les propriétés et l’activité simultanée de ces deux minéraux. La ferromagnétite émet un champ électromagnétique énergétique, les cristaux de silicium captent ce champ électromagnétique, le canalisent, le transforment et le distribuent, aux bonnes fréquences retenues, aux appareils ou aux systèmes biologiques qui les utilisent ensuite selon leurs besoins. La biologie moderne a démontré que l’être humain est constitué de millions de réseaux cristallins : système hydrolymphatique, système osseux, système cellulaire, etc. Tout le système cellulaire et l’A.D.N. qui le compose, cristallise, je l’ai dit, en silicium et en ferromagnétite. Le silicium cellulaire agit comme un poste récepteur des ondes électromagnétiques émises par la ferromagnétite cellulaire qu’il transforme, adapte et transmet ensuite aux cellules sous forme d’énergie ou d’information, ce qui est la même chose.

Jean-Pierre Perraud — Pensez-vous, professeur, qu’il existe des lignées de sourciers, de radiesthésistes et de magnétiseurs, comme il existe des lignées d’artistes, de médecins ou d’avocats ?
Yves Rocard — Vous savez, le sens magnétique est comme le sens musical. Un musicien finira toujours par exprimer son art. Je crois que c’est un peu la même chose chez les individus qui ont le sens magnétique sinon le don magnétique. Encore qu’il ne soit pas tout à fait impropre de parler de don magnétique ou radiesthésique. Je vous ai dit que j’ai vu des magnétiseurs momifier des fruits, de la viande ou du poisson. Autant de choses que je n’arrive pas à faire, après pourtant bien des essais. De même, j’ai vu plusieurs radiesthésistes chercher au pendule des personnes disparues, à partir de photos ou d’objets qui leur appartenaient, parvenir à localiser ces personnes dans un périmètre d’une grande précision. Vous savez bien que la gendarmerie travaille souvent avec les radiesthésistes. Téléphonez au ministère de l’Intérieur, vous serez surpris… Quant à la transmission du don de parents à enfants, il y a effectivement des familles de sourciers et de guérisseurs. Un membre, masculin ou féminin, possède le sens magnétique et le transmet au descendant qui, très tôt, présente des dispositions naturelles et ainsi de suite. Cela a toujours été ainsi depuis la nuit des temps. D’ailleurs était proclamé sorcier ou chef de la tribu celui qui était le mieux à même de prévoir ce qui était bon ou mauvais pour la tribu. Vous savez que les aristocrates et les rois de France, depuis l’époque mérovingienne, étaient élus, s’ils étaient capables de guérir les Comment douter alors que l’homme soit électrique et magnétique puisque les biophysiciens le démontrent ? écrouelles par la seule imposition des mains et le toucher, comme le font aujourd’hui les magnétiseurs. On dit que Louis XIV a été le dernier roi de France à subir l’épreuve des écrouelles. Giscard d’Estaing eût été bien inspiré de rétablir les écrouelles, peut-être que son sens magnétique eût été meilleur que son sens politique et musical surtout quand il joue de l’accordéon.

Jean-Pierre Perraud — Vous croyez donc au pouvoir de guérir des guérisseurs ?
Yves Rocard — Les guérisseurs continuent bien évidemment de guérir ce qu’ils ont toujours guéri : les zonas, les verrues, les brûlures, certains eczémas, certaines maladies de peau, certaines douleurs et la plupart des troubles fonctionnels et nerveux. Quant aux maladies infectieuses et cancéreuses, elles ne relèvent pas de la thérapeutique du magnétiseur, même si, parfois, celle-ci peut les soulager. Les champs magnétiques qu’il émet ne sont pas assez puissants. D’ailleurs, à part la fameuse machine Priore — un électrophysicien bordelais — peu d’expériences en France
ont été faites sur l’activité thérapeutique des ondes magnétiques. Priore a payé le prix fort pour avoir voulu se mêler de médecine et de thérapeutique. Les scientifiques et l’Ordre des médecins lui sont tombés sur le poil. Priore et sa machine ont disparu. Il est vrai que cela se passait juste après la guerre, époque qui annonçait le règne de la chimie tous azimuts. Je suis intimement convaincu que Priore a découvert des propriétés intéressantes des ondes électromagnétiques dans le domaine de la thérapeutique. De grands scientifiques comme Alfred Kastler et le biologiste anglais Pantrezel, qui suivirent Priore dans ses expériences, en étaient convaincus. D’ailleurs pourquoi en serait-il autrement puisque l’on sait aujourd’hui que les ondes électromagnétiques sont capables de produire chez ceux qui les reçoivent ou les subissent trop longtemps des tumeurs malignes, des maladies cardiaques ou nerveuses, voire des crises d’hystéries ? Passe encore la télévision et les petits appareils électroménagers mais le problème est d’une autre gravité avec les transformateurs et les lignes à haute tension qui créent un phénomène connu sous le nom d’effet corona. L’effet corona prend naissance à proximité des lignes à haute tension, c’est-à-dire à partir de 400 000 volts. Une telle puissance électrique crée des champs magnétiques qui ionisent l’air ambiant dans un périmètre de plusieurs centaines de mètres au point de créer des troubles, des malaises et, dans certains cas, des maladies mortelles. E.D.F. est au courant de ces effets secondaires des lignes à haute tension mais n’a, jusqu’à présent, jamais pris de mesures pour les neutraliser. Les ondes électromagnétiques sont comme les ondes radio-actives : à petites doses elles stimulent et soignent ; à fortes et hautes doses, elles tuent.

Jean-Pierre Perraud — Quel avenir voyez-vous pour le magnétisme en France ?
Yves Rocard — Vous savez, le magnétisme et les magnétiseurs survivront, ainsi que les radiesthésistes et les sourciers. Si la science pouvait tout expliquer et la médecine, tout guérir, c’en serait fait du magnétisme et des « capteurs » d’ondes mais — et c’est tant mieux — ce n’est pas le cas. Il y a 30 ans, quand j’ai commencé à m’intéresser aux sourciers, qui sont, en fait, des radiesthésistes, et aux magnétiseurs, mes collègues scientifiques pensaient que la sénescence me gagnait mais vous constaterez que j’ai encore bon pied bon œil et je réponds à vos questions. Les magnétiseurs et les radiesthésistes existent parce qu’ils obtiennent des résultats incontestables. Ils existeront aussi longtemps qu’il continueront à obtenir ces résultats.

Jean-Pierre Perraud — Professeur, comment le physicien des particules, l’esprit rationnel connu
dans le monde entier pour ses travaux sur la bombe atomique que vous êtes a-t-il pu se retrouver, du jour au lendemain, dans le camp des spiritualistes ? N’y a-t-il pas là quelque chose de contradictoire ?
Yves Rocard — Écoutez, les seules révélations que j’aie eues dans ma vie m’ont été données par la logique et l’entendement, deux facultés qui m’ont permis de comprendre des phénomènes aussi complexes et ténus que la physique des particules ou les lois générales de l’électromagnétisme. Rien de divin dans tout cela, ni même de spirituel. Quant au pouvoir des sourciers et des magnétiseurs, je crois avoir répondu rationnellement à vos questions.

Jean-Pierre Perraud — Et Dieu dans tout cela ?

Yves Rocard (avec un sourire) — Certainement la loi physique de toutes les physiques ou le grand sourcier

Source: http://www.francaise-bio-energetique.com/rocard%20interview.htm

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vendredi 23 mai 2014

Alimentation prânique, un chemin d’exception

Alimentation prânique, un chemin d’exception

Si on s’intéresse à l’alimentation vivante, inévitablement à un moment ou l’autre de notre démarche, on sera interpellé par l’alimentation pranique. Dans cette perspective toute particulière de la nutrition devenue explicitement spirituelle, l’expression bien connue « vivre pour manger ou manger pour vivre » pourra s’adjoindre une troisième alternative : manger en toute conscience pour Être.
Qu’est-ce que l’alimentation pranique ?
Prana
Selon les Upanishads – écritures anciennes de l’Inde –, le Prâna (terme sanskrit) est une énergie vitale universelle qui imprègne tout et que les êtres vivants absorbent par l’air qu’ils respirent. Voilà, tout serait donc déjà dit : l’alimentation pranique, c’est se nourrir de Prâna !Prana

prana
L’alimentation pranique,
ce n’est donc pas ne pas manger,
c’est bien plutôt manger du Prâna,
beaucoup de Prâna, en toute conscience.
L’inconscience humaine
Prana
Selon Reine Claire Lussier, pionnière de l’alimentation vivante au Québec (et ailleurs, car dans ce domaine les pionniers sont rares), la mécanique biologique maintient l’être humain dans un état d’inconscience. C’est-à-dire que n’étant pas « maître de sa matière » (l’expression est de R-C), l’humain peut s’accommoder de vivre en mode réflexe sa vie durant. On sait que notre organisme opère principalement par automatismes, les systèmes nerveux sympathique et parasympathique étant responsables des fonctions essentielles du corps : digestion, pulsations cardiaques, respiration, etc. Pour les adhérents à l’Âge du Verseau, l’humain est un être de lumière expérimentant la vie terrestre dans un corps de chair. À cette enseigne, son objectif est de maîtriser SA propre matière. C’est-à-dire spiritualiser son enveloppe physique à l’instar, peut-on dire, du créateur virtuose qui transmute littéralement la substance de son environnement : matériaux, sons, saveur, vibrations visuelles… en chef-d’œuvre!
Transformer son code biologique
Prana
pranaPour vivre de Prâna, il faut d’abord réussir à transformer son code biologique (les fonctions digestives à tout le moins) en code pranique (la capacité d’extraire sa vitalité, dans le sens littéral du terme, de l’air ambiant). Ce n’est quand même pas de la tarte ! Là aussi, il faut être… virtuose. Maintenant, vivre de Prâna n’équivaut pas, selon Reine Claire, à arrêter de manger. C’est une conséquence possible. Hum, cette distinction a son importance, car la valeur de la démarche est transposée sur la conscience à acquérir vis-à-vis la nourriture, qu’elle soit dense avec les aliments physiques ou éthérée avec le Prâna, plutôt que sur le fait de ne plus manger. Le but recherché à travers l’alimentation pranique est donc de mettre de la conscience dans SA matière. Le chef-d’œuvre à réaliser, c’est soi-même ! À l’instar de certains yogis qui possèdent la maîtrise de leur respiration et peuvent conséquemment réaliser des prodiges : longévité inhabituelle, insensibilité à la douleur, don d’ubiquité, etc. les adeptes de l’alimentation pranique réalisent ce qui nous semble aussi un phénomène improbable : ne plus manger.
Est-ce vrai ?
Prana
Les adeptes de l’alimentation pranique sont désignés par les termes respirien, inédien ou pranien. S’ils ne sont pas légion, leur existence, même rarissime, s’impose à notre intérêt tel un formidable manifeste quant aux capacités de l’être humain.
Prana
pranaL’histoire officielle, mais surtout officieuse, nous signale au-delà d’une vingtaine de cas hypothétiques. Parmi les plus référencés dans notre culture judéo-chrétienne, signalons la Française Marthe Robin qui a vécu sans nourriture pendant 50 ans et mourut en 1981 à 78 ans et Thérèse Neuman, cette allemande qui pendant près de 40 ans se nourrit exclusivement d’hosties humectées d’eau jusqu’à son décès à 69 ans. Actuellement, un ascète Hindou du nom de Prahladbhai Maganlal Jani anime le débat : il s’alimenterait de Prâna depuis 69 ans. Il aurait aujourd’hui 81 ans. En 2003, ce dernier a accepté de participer à une étude scientifique menée à l’hôpital Sterling d’Ahmedabad (état du Gujarat, Inde), sous surveillance vidéo constante. Plus récemment, en avril 2010, le même ascète s’est soumis à une autre étude, et ce encore pendant une dizaine de jours sans manger ni boire. Si la science n’a pas voulu valider l’expérience, faute d’un protocole considéré inattaquable, ce type de démonstration « alimente » assurément l’énigme des respiriens.
Prana
pranaPlus près de nous, d’autres personnes, apparemment saines de corps et d’esprit, jeunes et moins jeunes, confient leur cheminement d’exception sur Internet. Pour l’instant, il faut les croire sur parole. À cet égard, signalons l’athlète américain Jericho Sunfire, la française Isabelle Hercelin, le shaman Henri Monfort, Ellen Greve alias Jasmuheen, la plus connue et assurément la plus décriée des respiriens, et enfin la québécoise Reine-Claire Lussier par qui nous avons été sensibilisée à ce type d’alimentation. Marie-France Bernard responsable à « Conférences Québec » présente ainsi ses récentes allocutions :

Se nourrir de Prana, Mythe ou Réalité ?
Prana
« Tout être humain qui s’éveille à sa potentialité peut devenir autonome et s’affranchir des lois terrestres. C’est là le destin de l’humain : maîtriser totalement sa matière. Le corps humain est conçu pour vivre uniquement de l’énergie divine. » (Les Guides)
Reine-Claire a transformé sa mécanique biologique en mécanique pranique. En toute simplicité et transparence, elle nous livre son expérience de cette troublante mais fascinante déprogrammation cellulaire. En nous décrivant ses peurs, ses résistances, ses recommencements, sa constance à poursuivre son objectif de maîtriser sa matière humaine, elle nous apprivoise et nous invite sur un chemin nouveau : celui de dépasser sans cesse ses limites et de s’harmoniser avec l’appel de son âme.
Prana
Voir aussi le courageux livre de Reine-Claire et de son conjoint Gaal : Transparence II paru aux Éditions Ariane. Un journal de bord intime sur leurs aventures, si je peux me permettre, avec le Prâna.
Prana
Dans cet article-ci, je m’inspire d’ailleurs largement de l’expérience de Reine-Claire.
Alimentation pranique, mode d’emploi
Prana
L’être humain s’alimente d’eau, de nourriture végétale et, selon le cas, de chair animale. Il se nourrit aussi de façon réflexe par tous les pores de sa peau grâce aux rayons du soleil et à l’air. Ce dernier élément également inhalé par ses poumons, une bonne dizaine de fois par minute. Ainsi, c’est d’abord l’air qui « nourrit » le corps de façon essentielle. Toutefois, pour la plupart des gens, manger renverra naturellement aux trois repas quotidiens. Alors, l’idée demeurera toujours : On mange sinon on ne mange pas. Ce n’est toutefois pas si simple.
Prana
Sur la base de certaines expériences partagées (on est quand même en pleine « terra incognita »), on apprend que le processus de transformation du code biologique vers le code pranique se déroule, habituellement, par étapes. Nous ne parlons pas ici de jeûner, car c’est une autre histoire. Nous en parlerons plus loin. Je laisse la parole à YV, l’auteur d’un site dédiéwww.pranique.com
Prana
Au sujet de la purification des corps physique, mental, émotionnel et spirituel par la maîtrise de l’alimentation, il semble qu’il y ait un parcours classique d’étapes, mais néanmoins toujours individualisé et personnel. […]
Carnivore-omnivore, Végétarien
(c’est moi qui ajoute ces étapes préliminaires potentielles)
Prana
végétalisme/frugivorisme – élimination des feuilles, tiges, racines et tubercules amène au fruganisme – diminution drastique des fruits graines et de la majeure partie du cuit amène au fruitarisme/fructivorisme – élimination des fruits-graines comme les noix et les graines de tournesol (alimentation concentrée) amène au paradisianisme ou pulpivorisme ou fruitarisme/fructivorisme sans graines – phénomènes mystiques et/ou besoin de manger encore plus léger amène au liquidarisme – un passage difficile et inconfortable de 3 semaines à un mois en sevrage radical, ou bien progressivement en diminuant les repas jusqu’à ne plus prendre qu’un repas de jus de fruit par semaine sans perdre trop de poids amène à l’aquavorisme – curiosité et besoin de cohérence pousse à réduire aussi l’eau et amène au respirianisme […]
prana[…] Il est dit qu’il faut environ un an pour consolider chaque étape de ce parcours, au moins jusqu’à l’aquavorisme, pour se sevrer de tout aliment sauf l’eau, soit 5 ans.
Ça peut paraître un peu compliqué, mais on comprend l’idée générale : on ne passe pas du steak au poivre au respirianisme. Reine-Claire, quant à elle, parle de sa démarche avec simplicité. D’omnivore-carnivore gourmande à végétarienne (cette étape initiée au début de la trentaine), elle est passée à l’alimentation vivante inspirée par une guidance intérieure, développant peu à peu son intérêt et ses connaissances de ce régime, pour finalement commencer à intégrer l’alimentation pranique en l’an 2000. Aujourd’hui son corps est ajusté à la mécanique pranique, elle peut ou non manger matériel à sa convenance. Elle confiera « partager » occasionnellement un repas avec son conjoint, au même titre qu’une autre activité comme aller au cinéma. Depuis 10 ans, elle s’est prêtée à beaucoup d’expériences de transmutation cellulaire et après quelques mois à se nourrir presque exclusivement de Prâna, elle a adopté de façon définitive le morceau de pain quotidien qu’elle ajoute à ses repas de Prâna, avec beaucoup d’eau.
L’importance du Prâna
Prana
Tout est constitué de Prâna : vous, moi, la planète et tout ce qu’elle contient. Alors, la pomme ou la pizza, ou encore la boîte qui la recouvre, c’est seulement une question de quantité de Prâna. Quand on parle d’assimilation, autrement dit de transmutation alimentaire, il faut se rappeler que les aliments cuits fournissent peu de Prâna. Ils sont dévitalisés. Certains diront plus carrément, ils sont morts, car il ne reste aucun enzyme suite à leur cuisson au-delà de 104°F. Quant à manger du carton… Enzymes = Prâna ? Un peu, oui. L’alimentation vivante ayant conservé ses enzymes contient de ce fait plus de Prâna. C’est le Prâna qui véritablement nourrit notre organisme, que l’on soit conscient ou non de son action subtile.
Prana
L’alimentation pranique engage la conscience de l’action du Prâna et son utilisation optimale dans notre organisme.
Prana
pranaLorsqu’on mange des aliments matériels, du plus dense au plus éthéré (viande, aliments cuits, aliments crus, liquides, eau), notre système digestif doit travailler en proportion afin d’en extraire le Prâna. Plus l’aliment est dévitalisé, plus le corps travaille laborieusement et plus la quantité est au rendez-vous dans notre assiette. On mange trop ? Oui, car on mange vide. Le corps a faim, non pas de quantité, mais de qualité… Il a besoin de Prâna ! Il est reconnu que les adeptes de l’alimentation vivante ont moins besoin de manger que ceux qui mangent cuit. Bon, je viens de prêcher pour ma paroisse.
Nourrir les trois corps
Prana
Manger pranique touche directement les trois corps suivants : physique, émotionnel et mental. Curieusement, on s’attendrait à ce que ce soit le corps physique qui se rebelle. Eh bien non, Reine Claire souligne que ce sont nos émotions et notre mental qui font le plus sérieusement obstruction à cette démarche. Le corps, au contraire, serait ravi de notre décision, quand elle est vraiment prise.
Prana
En supposant qu’on désire s’initier à l’alimentation pranique, comment doit-on s’y prendre, en gros ?
Prana
Je précise bien EN GROS, car ce n’est surtout pas un mode d’emploi à l’aveugle… D’abord, lâcher prise à la performance. On n’y arrive pas avec son ego. Maintenir son régime alimentaire habituel. Si on aime la viande, on mangera de la viande. Si on est végétalien convaincu, on poursuivra sur cet élan. Même chose si on est un adepte de l’alimentation vivante. On part d’où l’on est ; le Prâna fait le reste. C’est-à-dire ? La première et la plus importante chose à faire, en fait la seule, c’est d’intégrer la conscience que c’est le Prâna et seulement le Prâna contenu dans l’aliment ingéré qui nourrit. On intériorisera cette idée de « manger » du Prâna avant le repas. On peut bien sûr faire l’« exercice » plus souvent, tout le temps. C’est encore mieux, car plus on « assimilera » le concept, plus on expérimentera véritablement ses effets dans notre corps, lequel va commencer à nous parler… En clair, il va peu à peu nous donner le goût du Prâna et donc, si on parle de nourriture matérielle, d’une alimentation de plus en plus vivante. Parallèlement, et conséquemment, on aura moins d’élan, et finalement plus d’élan du tout, pour la nourriture cuite. Éventuellement, constatant que notre corps se nourrit parfaitement de Prâna (attention, il y a des paramètres précis pour le vérifier), on décidera de ne plus manger de nourriture matérielle, car devenue superflue. La démarche, dans sa totalité, peut prendre un temps variable. On parle habituellement d’années. Mais comme le but, vous vous rappelez, n’est pas d’arrêter de manger, mais de mettre de la conscience dans notre matière, on suivra donc son bonhomme de chemin sans se soucier de la destination.
Prana
Dans le cadre de ses conférences, Reine-Claire propose quelques fois à la curiosité de son auditoire quelques trucs pour « déjouer la révolte de la matière » pendant la « difficile » période du sevrage. Là, c’est presque rigolo de voir comment le corps fonctionne à l’automatique. Mais bon, ce n’est pas le propos de cet article d’aller dans le détail du pratico-pratique. Je soulignerai cependant l’importance de l’eau à cette étape. Plusieurs litres (5-6) seraient requis en période de sevrage. L’eau est un remarquable véhicule (homéopathie) de l’information. Selon Reine-Claire, pas besoin d’appareils sophistiqués pour hausser ses fréquences. Il suffit de mettre notre eau de boisson (verre ou pichet) à hauteur du cœur et de formuler en conscience notre intention. On peut faire de même avec la nourriture, et ce en toute discrétion en mettant nos mains de chaque côté de notre assiette ou en inclinant le torse (ici c’est le chakra du cœur qui est sollicité) vers celle-ci.
Prana
Enfin, ceux qui sont sérieusement intéressés par la démarche de l’alimentation pranique seront bien avisés de se faire accompagner adéquatement sur ce chemin d’exception, potentiellement dangereux s’il est vécu dans l’ignorance de tous ses aboutissants.
Se nourrir de Prâna, ce n’est pas jeûner
Prana
Venons-en au jeûne. On peut survivre, selon les conditions, une semaine (certains même pas 3 jours) sans boire et un mois sans manger, plus longtemps pour les constitutions solides. Alors, comment fait-on pour vivre sans manger des années durant ? Voilà ce que j’en comprends : Quand on jeûne, on envoie aux cellules du corps le message suivant : « Prends ton mal en patience cocotte, on va re-manger bientôt » ou alors « C’est bien dommage, mais si on ne mange pas bientôt, on va mourir mon coco ! ».
L’un comme dans l’autre, le corps est en attente ou en panique et « gruge » dans la matière biologique. Les résultats peuvent être favorables si on sait contrôler l’expérience ou (c’est bien ça) mortels si ça dure trop longtemps. Par contre, quand on a vraiment transmuté son code biologique en code pranique, le corps a définitivement « compris » qu’il peut non seulement survivre, mais vivre de Prâna. Il a également admis que le Prâna vital peut être ingéré à partir de l’air ambiant. On est alors devenu un mutant, une mutante. Cool. On dirait de la science fiction.
Témoignage d’Henri Monfort qui vit depuis 5 ans sans absorber aucune nourriture solide. Loin d’être un défi, cette expérience relève d’une croissance de l’harmonie entre sa physiologie et l’énergie omniprésente dans l’univers, le prana, au point de pouvoir en être nourri et en parfaite santé.
Prana
Mais pourquoi arrêter de manger ? C’est si bon maman !
À partir du moment où j’accepte que je puisse effectivement modifier ma mécanique biologique et vivre de Prâna, je calme mon corps mental. Quand j’ai enfin vérifié dans ma chair que je peux vivre de Prâna, j’ai définitivement rassuré le corps mental. La mécanique pranique est installée. Mon corps physique, lui, sait dès le départ qu’il peut réaliser ce prodige. Par contre, personne ne peut m’enlever les mémoires agréables que j’associe au fait de manger. Eh oui, manger est un plaisir (surtout dans notre société) même s’il s’évalue inégalement sur l’échelle du bien-être selon les individus et le moment. Le corps émotif résiste à ce qu’il considère comme une abomination : ne plus manger.
Prana
Vivre de Prâna est donc une démarche extraordinaire qui ne rencontrera, éventuellement, la complicité des trois corps que très progressivement. Alors pourquoi se donnerait-on le défi inconcevable, pour la plupart, de ne plus manger ? Pour devenir le maître de sa matière, lancerait assurément une Reine-Claire triomphante ; pour goûter la légèreté intrinsèque d’un corps libéré des contingences de la digestion (un immense travail au quotidien), pour l’éclatant regain d’énergie qui s’en suit, pour la diminution de nos besoins en sommeil (un p’tit 4 heures de sommeil, super), pour l’expansion de nos facultés intellectuelles et parapsychiques et, plus pragmatiquement, pour épargner tout le temps et l’argent qui sont liés au fait de manger, au niveau individuel et, imaginez la merveille, au niveau planétaire…
Mettre du Prâna dans mon assiette et dans ma vie
Prana
En conclusion, si vous êtes comme moi, ben tiens, nous sommes les plus nombreux à cette étape, vous serez plutôt interpellés par le projet de mettre davantage de Prâna dans votre assiette, c’est-à-dire tout en continuant de manger. En premier lieu, en ce qui me concerne, à travers les bienfaits reconnus de l’alimentation vivante et aussi l’incorporation consciente du Prâna. Mon programme est simple. C’est d’ailleurs une des convictions que partage volontiers Reine Claire Lussier : plus c’est simple, plus c’est efficace ! Alors quoi ? Manger vivant en conscientisant l’importance du Prâna dans ma nourriture. Parallèlement, respirer le Prâna dans l’air ambiant, le plus souvent et particulièrement quand je suis en nature, en méditation, au lever et au coucher. Boire plus d’eau, une eau programmée par mes soins à ma fréquence lumineuse, celle de mon âme. Et puis laisser vivre tout ça dans mon corps, dans la Joie.
Prana
Voilà, j’espère que cette incursion sommaire dans le monde de l’alimentation pranique vous aura inspiré le meilleur pour votre cheminement personnel. Toutefois si jamais vous êtes de ceux qui sont interpellés plus radicalement par la démarche, n’hésitez pas à contacter des personnes ressources compétentes.
(MISE EN GARDE : Cet article n’est pas une invitation à pratiquer l’alimentation pranique tous azimuts. Par contre, les personnes intéressées y trouveront des références pertinentes pour approfondir le sujet et contacter des ressources avisées.)

Bon Prâna !
Prana
Sylvie Alice Royer
Thérapeute en soins esséniens, Coach en alimentation vivante 
courriel : yorre@ccapcable.com
www.vertparnature.blogspot.com